Carnets de plage
Cet été, ami lecteur, je suis partie au Portugal. Mais pas pour visiter, non. Je suis partie en hôtel club. Autant dire que j'ai pas vu le moindre bout de poil de cul d'un Portugais en toute une semaine.
En revanche, j'ai bien vu :
- le bar
- la piscine
- des gros nazis qui boivent de la bière dans la dite piscine
- le bar
- des gentils animateurs avec autant de centres d'intérêt (baiser, baiser et baiser) que de mots de vocabulaire
- le bar
Voilà, le tout servi sur un lit de beaufs et de mômes pleurnichards qui dansent la chenille. Et ben tu m'croiras tu m'croiras pas, mais je me suis bien marrée. Et oué. Même que j'ai fait du rodéo dans un bar et des auto tamponneuses et je me suis niqué les genoux.
Bon au bout de 5 jours à ce rythme, je suis quand même devenue grave claustrophobe et j'ai pris mes petites jambes pour aller marcher un peu à l'extérieur.
Et à la piscine, comme on pouvait pas aller dedans rapport aux 12 tatoués qui s'y faisaient joyeusement des clés de bras entre amis, ben j'ai dessiné.
Bon ok c'est pas le Ritz, mais avec 5 grammes en permanence je te défie d'en faire autant, non mais.
Allez, un bisou.